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Gentille ou trop gentille ?

  • Photo du rédacteur: Fanny
    Fanny
  • 17 sept.
  • 1 min de lecture

Dernière mise à jour : 18 sept.

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On a souvent tendance à confondre ces deux attitudes.

Être gentille est une belle qualité, précieuse et authentique, mais elle peut parfois glisser

vers une forme de soumission ou d’effacement de soi. Comme le dit l’adage populaire : “Trop bon, trop con.” Une formule brutale, certes, mais qui illustre bien cette confusion.



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Pourquoi cette gentillesse excessive ?

Souvent, elle naît d’un besoin profond : celui d’être aimée, acceptée, de ne pas décevoir. Ce désir de plaire à tout le monde peut remonter à l’enfance.

Une éducation stricte, des parents très gentils ou exigeants, un environnement où l’on apprend à se taire pour ne pas déranger… autant de facteurs qui façonnent une personnalité tournée vers les autres, parfois au détriment de soi.

Avec le temps, cette gentillesse devient un réflexe, une posture. Et chez de nombreuses femmes de plus de 50 ans, elle s’est enracinée au point de définir leur identité.

Elles ont appris à donner, à écouter, à s’effacer… mais rarement à poser leurs limites.


Comment faire la différence ?

La clé réside dans la capacité à dire non. Refuser un service, une demande, une sollicitation, sans culpabilité ni justification.

Apprendre à penser à soi, à ses besoins, à ses limites. Et comprendre que cela n’a rien d’égoïste : c’est une forme de respect envers soi-même.

Être gentille, c’est offrir avec sincérité,

Être trop gentille, c’est s’oublier en chemin.




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